lundi 7 janvier 2008

FELIX LYON





Félix LYON, est originaire de Marseille, retraité, vit à Valbelle dans la Vallée du Jabron.
Dès l'âge de 17 ans, j'ai travaillé dans une grande Société de Réparation Navale. A l'âge de 20 ans, Service Militaire 28 mois en Algérie. Au retour, j'ai été repris dans cette Société en qualité d'Employé à bord des navires en réparation et ce, jusqu'à sa fermeture en 1978. Reconversion, stage d'électricité. Je me suis installé Artisan jusqu'en 1998, date effective de ma mise en retraite.
J'aime le sport, le foot en particulier et le vélo que je pratique régulièrement. En dehors, je comble mon temps à la peinture et ce, avec passion.
"Voilà en quelques mots mon profil."

Autodidacte et peintre amateur, j'axe mon travail sur les couleurs et les contrastes des paysages champêtres et des hommes dans leur milieu. Dans mes portraits et mes scènes rurales, je cherche un réalisme empreint de douceur et d'harmonie.
Félix Lyon nous propose ses œuvres en toute modestie et sans prétention. Ses tableaux nous dévoilent le quotidien rustique des habitants de la vallée du Jarbon, des scènes rurales.
Les couleurs de la campagne provençale figurent au centre des préoccupations de cet artiste qui se plaît à capturer une autre façon d'exister, avec un étonnant souci de réalisme.
Il n'y a pas d'excès, l'ambiance est douce, harmonieuse, poétique.
C'est d'autant plus étonnant quand on sait que Félix Lyon était employé en réparation navale sur le port de Marseille, une technique plus prompte au coup de marteau et à la meuleuse qu'à la minutie de la représentation sur toile. Malgré la complexité des ses compositions animées de personnages, ses tableaux flirtent avec le sans faute. Jouant avec les ombres et les couleurs, le veloutées de ses toiles racontent la vie.
Sans fard et sans artifice……

LAURE MARTIN















Laure MARTIN, peintre portraitiste de St Vincent de Jarbon.
est née le 3 septembre 1970 à Grasse (06).
Diplômes en COUTURE CREATION ET MESURES :
Premières expériences professionnelles comme styliste modéliste.
Evolue dans le milieu de l’élevage ovin depuis 1992.
Elève de Pierre FONFERRIER, pratique la peinture à l’huile depuis bientôt 3 ans. Laure Martin travaille sur des grands formats et réalise le plus souvent des portraits grandeur nature. Les fonds sont abstraits, réalisés à base de caséine.
A la recherche d’une technique la plus réaliste possible, sans pour autant vouloir faire de l’hyper réalisme. Elle s’intéresse particulièrement à la lumière et essaie de définir la réalité des sujets à travers celle ci. Puise son inspiration auprès de ses contemporains ; ceux qui vivent dans sa vallée. "Elle tente de révéler la beauté en chacun d’eux"

Laure MARTIN un nom qui ira loin, comme tous les contes, cette histoire pourrait débuter par " il était une fois…." Dans la vallée paisible du Jabron aux pieds des montagnes de Lure, vit une bergère qui a deux passions : ses moutons et la peinture. Sa passion pour la vie rurale et plus généralement sur ce qui l'entoure oriente Laure vers un art pictural plus que difficile : le portrait.
Cette élève de Fonferrier, nous ouvre les portes de son intimité, son atelier. Elle prend le temps de jauger ses visiteurs, puis l'intérêt s'installe, les questions fusent, les réponses se font plus longues, plus détaillées, les dernières barrières tombent. Avec pudeur Laure Martin s'efface devant ses toiles pour mieux les commenter, on parle peinture, sujet, couleur, forme, exposition, association et la glace fond doucement. Gagner…. non mériter sa confiance n'est pas chose facile, Laure a gardé cette méfiance des gens de la montagne…
Bergère aux doigts de fée, du talent à revendre et surement un don pour la création bénit des dieux. Voilà ce qui vient à l'esprit en regardant ses tableaux, bouche bée, les yeux écarquillés de plaisir, la richesse des couleurs, des personnages, des formes qui se passe d'arrière plan.
Voilà pour le peintre, coté peinture, Laure Martin travaille sur des grands formats et réalise souvent des portraits grandeur nature ce qui rend sa prouesse d'autant plus surprenante. Car le portrait, c'est la mémoire des yeux, le portrait exige une grande cohérence avec la réalité. Ce travail impose au peintre une très bonne maitrise de son art, dévoile sa sensibilité dans le respect des rythmes et des mouvements qui dominent puis de les ordonner afin de nous transporter dans une atmosphère sereine et calme voire apaisante.
Dépeindre des gens simples dans une vie simple, telle pourrait être la devise de Laure Martin. Elle décrit avec brio cette nonchalance, mise en valeur par une lumière et des sujets très réalistes sur des fonds abstraits, si belle à regarder pour les hyperactifs que nous sommes. Ses toiles sont époustouflantes tant dans le choix des couleurs que dans celui des personnages, des situations d'une simplicité déconcertante qui masque le monumental travail de recherche artistique, le bon choix des tons, les proportions et les compositions des champs à superposer, sa façon d'ordonner les éléments, on comprend que Laure à su prendre le temps d'observer et de sentir les éléments pour les organiser entre eux d'une manière globale.
Laure Martin a su allier le plaisir du trait à celui de la poésie des couleurs.
En prenant congé de Laure Martin, je me suis surpris à penser
" Elle serait tout à fait capable de nous repeindre la chapelle sixtine"……



Reillanne (04), c’est dans ce petit village proche de Manosque que vie l’atelier de céramique de Marguerite Gendrot.

Margo fait des études de céramique au collège « Morley » à Londres durant 5 ans (1995 à 1999)
Expose au musée des arts à Reillanne en 2004 et participe au marché des potiers tous les 15 Août
Comme un bijoux que l’on cache dans son écrin, son atelier se niche dans le dédale de rue pittoresque du village vieux.
Il vous faudra un bon sens de l’orientation pour le dénicher et découvrir tous les trésors qu’il renferme.
Marguerite Gendrot prendra le temps de vous expliquer l’historique de son village, les endroits à voir absolument, l’histoire et le lieu où elle a installé son atelier et surtout elle vous parlera de son ART.
Promenez votre regard au hasard dans l’atelier et vous comprendrez par le regard ce que vous enregistrez par l’écoute. Visiter un atelier d’artisan permet de suivre toute la chaîne de création d’une œuvre jusqu’à sa mise à disposition de la clientèle.
Ce métier demande trois qualités ;
Et pour avoir visité cette endroit, je peux vous confirmer que Marguerite les maîtrise totalement, avec en prime un sourire permanent qui illumine le visage de Margo

ROBERT GEISSINGER




ROBERT GEISSINGER
Dépôt des œuvres par Mme BANTI –GEISSINGER
Né à heildelberg (Allemagne) 1944-1994.

Se distingue comme artiste polyvalent, aussi bien dans le style, le sujet que dans la technique.

Cet éventail pictural, place Robert Geissinger dans la catégorie des «touche à tout», il exerce son art soit au crayon, à l’aquarelle, l’acrylique ou à l’huile.

Les œuvres picturales laissées par l’artiste sont très variées, relevées en couleurs et en adéquation avec son temps et les événements qui l’entourent.

Peintre réaliste, reconnu et apprécié comme un grand portraitiste. Il s'initie à la peinture dès l’âge de 10 ans.

A partir de 1962, il devient peintre illustrateur indépendant. C’est à cette période (1962) qu’il devient l’élève de Karl Schmidt puis en 1965 de Rudi Baerwind.

1968 – 1969 / Famous Artist School (Europe – USA)

SOPHIE FLECHE-MASSON




Sophie FLECHE-MASSON, agée de 35 ans, cette maman de 3 enfants est passionnée depuis 5 ans de cette sculpture et peinture sur papier parchemin dont la dénomination savante est « Pergamano ».

Diplômée depuis 4 ans de l’IPCA ( International Parchment Craft Academy), Sophie Fléche-Masson donne des cours au sein d’une association « Les Fées de la Fontenelle ».

Tous les ans, dans le cadre de formations, Sophie teste les diverses techniques applicables au parchemin. (Paris, Hollande & salon international)

Sophie Fléche-Masson fait partie des 55 professeurs diplômés de cet Art en France et vous présente ici quelques-unes une de ses œuvres.

- L’art du papier parchemin ou «pergamano » est né il y a quelques siècles, dans les abbayes, en Europe, grâce à cette technique, on y créait de magnifiques images saintes.

- Le terme « pergamano » vient de l’Espagnol, « perga » pour parchemin, que ce soit du découpage, de la gravure en relief ou de la teinture, le plus souvent une combinaison des trois. L’art du papier parchemin est un travail en relief.

- Historiquement, cette technique remonte au XV siècle, en Allemagne, Belgique et Hollande et servait tout d’abord à décorer les images pieuses catholiques faites par les nonnes.

CLAUDINE DELPECH




Consécration :
Le 18 novembre 2005 lors d’une exposition à La Loupe, commune de l’Eure & Loire (28), le président de l’association « Art et Culture » a rappelé que le retour à l’art pictural de Claudine Delpech est considéré comme une consécration et une évolution dans la continuité d’une technique qui ne souffre plus d’approximation mais bien d’un talent maitrisé.

Ses pastels prouvent que rigueur et travail peuvent être considérés comme les leitmotivs de cette artiste qui a toujours puisé son inspiration dans son entourage.

Notamment dans cette nature Percheronne qu’elle se plait à épier, «portraiturant» arbres, ruisseaux, ponts de pierre et sous-bois comme s’il s’agissait de véritables personnages.

Ses rectangles de toiles rapportant avec autant d’élégance colorée le spectacle de la nature sous toutes ses formes.

La véracité du trait, la force et la justesse de ses interprétations révèlent le caractère de l’artiste: sensibilité et rigueur.

« j'ai été primée au salon du patrimoine à l'hôtel de ville de Chartres en octobre 2006 pour mes pastels. »

Claudine livre ici, à vos regards et votre imagination, quelques-unes de ses œuvres.

MICHEL DE CAMPREDON




Michel De Campredon, né le 19/09/1948 à Marseille
Ingénieur faculté des sciences de formation, a effectué l’essentiel de sa carrière à l’ EDF dans le Var.
Michel De Campredon dessine et peint depuis ses plus vieux souvenirs, autodidacte, il a tout de même suivi des cours aux beaux-arts à Marseille et Toulon, puis a fréquenté les académies Allard et A.I.A.
Michel est un enthousiaste, souhaite transmettre sa passion et anime des ateliers de dessin de modèle de 85 à 96 sur Aix en Provence
Après un arrêt en 1991, c’est avec la retraite et les expositions qu’il reprend goût à la peinture.
Son style : paysage, nature morte, nu, portrait
Technique : huile & pastel
Forme : réaliste, figuratif, structuré
Couleur : , le charme et l’univers coloré de la Provence et de la Corse.
Michel De Campredon parle de sa peinture :
« la présence humaine, très souvent représentée sur mes toiles (personnage, chemin, maison) permet d’imaginer un art de vivre, une tranquillité retrouvée, un bien être salutaire, sans doute un peu de vécu »

GERARD DAVID

La Galerie d’art « Synergie Culturelle » à Vinon sur Verdon, vous emmène de plus en plus loin !
En Australie

Après une enfance passée dans le sud de la France, la vie professionnelle de Gérard David l'a conduit dans différents pays; Afrique, Asie, Amérique du Sud.

Arrivé à l'âge de la retraite, il a choisi de perfectionner son Anglais par immersion, et c'est ainsi que dans un premier temps il a séjourné en Nouvelle Zélande puis ensuite, à plusieurs reprises, en Australie.

C'est sur ce dernier continent qu'il a découvert le peuple Aborigène et sa fascinante culture. Après un premier apprentissage du plus vieil instrument de musique au monde, issu de cette culture, le Didgeridoo,
il a été très attiré par la peinture traditionnelle Aborigène. L'Art Aborigène s'exprime dans un style unique et particulier à chaque clan.

C'est une technique qui, le plus souvent, utilise de petits points et des couleurs issues de la terre. Ces couleurs varient selon les régions ce qui donne des œuvres pouvant être très différentes.

Les peintures exposées ici reprennent cette technique Aborigène. A l'origine les Aborigènes utilisaient des ocres, aujourd'hui la peinture acrylique représente l'essentiel de leurs toiles.

C'est cette même technique et peinture, en y ajoutant une petite touche personnelle tout de même, que Gérard David expose aujourd'hui chez nous.

DALL'ACQUA JEAN-BERNARD




Dall´acqua Jean-Bernard, toulousain de naissance, Jean-Bernard Dall'acqua a installé son atelier sur la commune de Gréoux les Bains.

Après plusieurs voyages et un tour du monde, il décide de quitter ses Pyrénées pour venir vivre en Provence.

D'abord, sur la côte d'azur, il se retire dans l'arrière pays pour se consacrer à deux de ses passions, la sculpture et la peinture.

Depuis son adolescence, il étudie le dessin. Au début technique, mais qui rapidement va l'amener à s’intéresser à l'étude des formes. S'essayant à plusieurs styles dans la sculpture, il trouve le sien dans la réalisation d’œuvres alliant poids et légèreté, rondeur et finesse, toujours avec un soin donné à l'équilibre et à la simplification des traits d'expression.

Le sujet des Sumôs se révélant correspondre parfaitement à l’alliance de tous les paramètres qu'il recherche, il développe le sujet par diverses réalisations de tous gabarits. Du plus petit de quelques grammes, au plus grand de plusieurs centaines de kilos.

Il continu néanmoins à travailler divers sujets que l'on peut nommer exotiques tel que mexicain, sculptures animalières (fondation Bardot)...

Vite remarqué par les galeristes, il exposera en divers lieux de la rivièra.
Parallèlement, il développe le sujet du sport sur ses toiles, privilégiant les perspectives et la lumière à l’étude de la palette de couleurs.

ARTISTE : PEINTRE - CHARLES COUDRAY




Artiste peintre de la ruralité percheronne

Charles Coudray, est né le 24 mars 1945.

C’est un autodidacte qui dès son enfance n’a cessé d’être attiré par le dessin. Orphelin trop tôt, il ne pourra exercer son talent de jeunot que sur le revers des papiers enveloppant le chocolat.
Le déclic va venir lors d’une exposition de peinture présentée à l’hôtel de ville de La Loupe (Eure & Loir). Avec ses revenus d’apprenti, il achète du matériel dans un catalogue Manufrance et prend des cours de dessin par correspondance. La chance ne souriant qu’au audacieux, c’est en la personne de William Clochard que dame fortune tend la main et le pinceau au jeune Charles.
C’est à ses cotés que le gamin apprend les nuances, les mélanges, les techniques et un style qui le fera évoluer dans l’accomplissement de ses œuvres. Depuis 1992, l’artiste exerce à plein temps.
Ardent défenseur du patrimoine Percheron, une biographie de l’artiste est parue dans Who’s Who International Art en 1997.

Prix et distinctions : Finaliste Prix de Deauville - Sévigné d’Or à Aix en Provence - Prix Suiss’Art - Prix Art et Poésie de Touraine - Prix Mons Mirabilis

ARTISTE : SCULPTEUR - CHRISTIAN COMTE




Christian COMTE, le sculpteur qui comprend le langage des arbres……
Avec un grand-père, Paul Comte et un arrière-grand père, Louis Maistre (directeur de l’école des beaux Arts de Marseille), tous deux peintres, Christian Comte a de qui tenir.
Il a été l’un des héros du premier film de Christian Philibert, les « 4 saisons d’Espigoul» .

Pour lui tout a commencé, en 1987, par les arts plastiques à l’université de Montpellier, son diplôme en poche, il rejoint l’île de beauté pour quatre années d’initiation au modelage de la terre dans un atelier de céramique de Corte. Réalisant ainsi ses premières statuettes en argile, Christian se crée un style, une signature, en leurs donnant une perspective et en les intégrant dans un espace. Maintenant Christian ne travail plus que l’argile et le bois,
« je suis un amoureux fou de la nature et tout naturellement le bois. En un clin d’œil, je vois la forme que je peux donner à une branche de Genévrier, un bois d’Olivier ou une racine de Romarin. Les bois de l’arrière pays possèdent une puissance évocatrice que je n’ai encore jamais retrouvée ailleurs »

ARTISTE : PEINTRE - MONIQUE CHARPENTIER




Née aux Pennes Mirabeau (Bouches-du-Rhône),

Monique Charpentier dessine et peint dès son plus jeune âge. Ses études l’orientent vers l’école des beaux-arts d’Aix en Provence où elle obtient le premier prix de peinture et le deuxième prix Seyssaud.
La peinture de Monique Charpentier est sans stéréotype et sans concession. Le trait est spontané, la retouche rare. Elle travail à la gouache, à l’encre et au pastel.
Un souffle pictural chargé de charme et de poésie, ce sont les reflets de cette béatitude simple et merveilleuse que Monique a su capter. Cette sensibilité champêtre que Monique Charpentier intègre dans ses œuvres, fait remonter de lointain souvenir qu’elle écrit en images dans une symphonie picturale de formes, de couleurs et de senteurs. Des intérieurs cossus au placard garnis de nos ainés où demeurent les bonnes fées de notre enfance, Monique Charpentier a su transposer cette ambiance si chère à notre jeunesse et porteuse de bonheur et d’amour.
Des collections particulières, en Amérique, en Angleterre, en Allemagne et au Japon, se sont enrichies des œuvres de Monique Charpentier.
Elle a exposé chez Daniel Chappaz à Marseille et aux Amis des Arts à Aix en Provence.

Son parcours :
1993 : 1er prix de peinture contemporaine de Gigondas (84)
1995 : Exposition galerie JANEL à PARIS.
1995 : Distinction – Le Crayon Gris – à SISTERON (04)
2001 - Exposition galerie VIDAL - Petit Musée.
2002- Cézanne – à AIX en PROVENCE
2003- Exposition galerie KATELEEN IMBERT.
2004- Exposition GAPA sur le cours MIRABEAU à AIX en PROVENCE.
2004- Exposition galerie ANN HUNT – ATLANTA ( Etats Unis )

ARTISTE : PEINTRE & SCULPTEUR - MERCEDES CAMPOS





Mercedes CAMPOS, artiste peintre qui s'inscrit dans une mouvance à tendance figurative, née le 05 janvier 1936 à Rabat (MAROC).

« J'ai commencé à peindre en 1996. Durant six ans, j'ai suivi des cours d'arts plastiques et fait de nombreux stages de pastel, aquarelle et sculpture. La peinture à l'huile m'est apparue comme le meilleur moyen de m'exprimer dans la réalisation de mes tableaux et le dessin dans la création de mes sculptures en taille directe, ces deux formes d'expression me tenant très à cœur. »

RECOMPENSES :
1998 - 1er prix Grand Prix de la Ville de Marignanne.
2002 - Médaille d'argent 3ème Salon Fondation pour la Forêt, Gardanne.
Médaille d'argent Salon International M.C.A., Marseille.
Médaille d'argent avec mention «Académie International de Lutèce» section beaux arts (A.I.L Lettres-Arts-Sciences-Philanthropie).
2003 - 3ème prix de sculpture Grand Prix de la Ville de Carry Le Rouet, Médaille Vermeil avec Mention A.I.L Paris.
PRIX DU JURY :
Médaille d'argent et médaille de bronze M.C.A. Cannes.
2004 - Médaille d'or A.I.L., Paris section beaux arts.
PRIX DU PORTRAIT :
2005 - Médailles d'argent peinture et sculpture M.C.A. Cannes.
Médaille d'argent République Française, félicitations du jury, Fédération de la Culture Française.
2006 - Médaille d'or A.I.L Paris section beaux.
Médaille d'or peinture M.C.A. Cannes.
DISTINCTION :
Toile d'or de l'année 2005. Référencée au dictionnaire DROUOT COTATIONS DES ARTIS

ARTISTE : PEINTRE - BéGé




Brigitte Guiot, est le fruit d’une vocation à maturité lente. Fille d’un spécialiste du trompe « l’œil », la jeune femme a révélé son art dans les années quatre-vingt dix, après avoir grandi à Nimes, vécu sur la cote ouest des Etats-Unis, et repris pied en Provence.
Un long cheminement qui lui permis de découvrir la vie, d’en extraire le meilleur, et d’en tirer la sérénité qui se lit désormais sur les toiles de celle qui signe « Bégé ».
Partie du réalisme, Bégé a peu à peu épuré son style jusqu’à ne retenir que l’essentiel , sans jamais entrer dans l’abstrait. Il en ressort une force délicate et pure.

De Paris à St Tropez, de Megève à Boston, de Londres à New York , les collectionneurs plongent leur regard dans les paysages provençaux de « Bégé ».

Qu’elle s’inspire de fleurs, de marine ou de lieux ses toiles reflètent la luminosité, l’instant, la quiétude du Sud de la France tel qu’on l’aime.

A la vision de ses œuvres, on laisse volontiers envahir par une sorte d’allégresse, de celle qui donne un sens à l’existence.

« Bégé » est référencé chez Drouot Cotations.

ARTISTE : PEINTRE - ANTOINE ARUTA



Antoine ARUTA, «A l’âge de 12 ans, je croquais des bandes dessinées, en colonies de vacances, je dessinais de grandes fresques sur les murs, ensuite avec mon activité professionnelle, je n’en ai plus eu le temps» Nous confie l’artiste.

C’est en 2000, l’année de sa retraite qu’il a acheté un coffret de peintures en «promo» et des cartons toilés. «Mes lieux privilégiés étaient la sainte victoire, les ports de pêche et mes inspirations les marines, que je me suis remis à peindre suite à un événement tragique qui m’a profondément boulevers黫 Je me suis replongé dans l’univers pictural, les formes, les couleurs, les senteurs, créer du vivant immobile, s’attendre à ce qu’une brise sorte de la toile, transporter ailleurs l’imagination du spectateur…»

Antoine Aruta définit son écriture dans un subtil mélange de légères touches au couteau et de coups de pinceau.

Le Magasine des Arts & des Antiquités «Côté Arts» lui a consacré deux articles dans les N°33 & 35 2005 pour ses participations au salon de Carry-le-Rouet.


Actualité :
 Concours de St Zacarie 2005 (2 ème)
 Participation au 8 ème «Aurélia Côte d’Azur» à Menton
 Expo au Royal Mirabeau à Aix en Provence
 Participation au XXI ème salon «Art sur Ars» à Fuveau
 Expo aux «Amis des Arts» à Aix en provence
 Expo au vieux bassin d’Allauch.

ARTISTE : PEINTRE - DANIELLE ARIELLE




Danielle Arielle est née à Marsillargues, Elle fait partie de la Nacioun Gardiano et porte le costume d’Arles à chaque occasion. C’est dire son attachement à la tradition, ses liens à ce monde bien particulier de la bouvine. Arielle fille du pays de bouvine, c’est donc ce qui va l’inspirer dans un style très personnel, autodidacte, elle peint des scènes de tauromachie, des chevaux, des sévillanes, des arlésiennes.
Elle a toujours ressenti le besoin de dessiner, de peindre, mais les circonstances de la vie ont retardé l'expression de son talent. Aujourd’hui elle se donne pleinement à sa passion.
Ses toiles ont une âme, les costumes sont beaux, les couleurs chaudes, les formes, les mouvements subliment ses inspirations. Les Arlésiennes sont vivantes, ses toreros virevoltent, les Zingaros jaillissent et même le légendaire « Olivier » se donne des airs de traviatta . Cette manière de peindre plaît beaucoup parce qu’elle nous parle. Arielle par sa peinture met la tradition au goût du jour, riche en émotion, on ne reste pas insensible devant ses tableaux.

Ce qu’elle en dit « Je peins ce que j’ai envie de peindre, je ne suis pas là pour produire. Je peins beaucoup et dès que j’arrête, la peinture me manque, je serais très mal si je devais cesser de peindre » « Dès que j’achète une toile, je sais ce que je vais faire, le format m’inspire. Chaque toile est une expérience nouvelle, elle est unique, pas de copie par respect pour les acheteurs » « L’espace ne me fait pas peur, j’aimerais peindre sur des murs »
Et pour finir « Parler de ma peinture et de ses raisons est pour moi une torture, ces toiles sont plus fortes que moi, ce sont elles qui vous parlent de moi, je leurs fais confiance et les laisse vous convaincre »

Cotée au dictionnaire DROUOT et dans plusieurs guide comme M.MICHEYL.
Expositions :
Le salon des Artistes et Créateurs de Vergèze (Marsillargues)
Baillargues (Haut-Languedoc)
Galerie Maraio (Saint Marie de la Mer)
Galerie Thuillier (Paris)
Salle Louis Feuillade ( Lunel)

ARTISAN : GERARD ARENE - SCULPTEUR SUR MARRON




De formation, sculpteur sur bois, Gérard Aréne façonne des marrons depuis plus de trente ans.

Une rencontre fortuite avec un éminent personnage à la fois peintre, sculpteur, catcheur, conteur et aussi brocanteur fait naitre cette passion qui ne le quittera plus. «J’aimerais que mes personnages à défaut d’être sympathiques soient attachants par leurs expressions»

Inspiré par la forme du marron dès qu’il est ouvert, l’artiste révèle le caractère du personnage qu’il crée. Dans un dialogue entre matière et intuition qu’il livre ensuite aux regards des spectateurs

Des moines se sont essayés à cet art, les forçats du bagne de Toulon préposés au nettoyage du marché en sculptaient à leurs moments perdus.
Certains sculpteurs présentaient leurs œuvres dans des expositions, le «Grand prix de Rome» en a même récompensé.
Honoré Daumier en aurait sculpté et le journal satirique «le Marron sculpté» en représentait les hauts personnages politiques de l’époque.

Expositions : Amberg ( Allemagne) 1999- Barjols (Haut-Var) 2001- La Ferté sous Jouarre 2002- Parc du Rayol 2003- Les Baux de Provence 2004- Bruxelles 2005- Lyon (musée de la Miniature) 2006